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Vendredi 21 août 5 21 /08 /Août 22:36

Une araignée dans le placard, une araignée dans le  plafond, une araignée au plafond, un géranium dans le crâne me dirait mon écrivain anglais préféré Tom Sharpe ou encore des grillons dans la tête,  un ....dans le cigare.. ,yoyoter de la cafetière ...
Elle tisse , elle égratigne, elle mordille, elle s'évertue, elle peint, Michel Angelo Buonarroti du règne animal,  elle peint le plafond de ma sixtine méticuleusement, n'étant pas un ange ni ne présentant par la suite  la peinture du jugement dernier, elle oeuvre artisanale  par touches successives et inintelligibles au quasi profane à me tatouer l'envers de l'esprit.Elle peint ? Elle cisèle dirait elle "J'ai vu un ange dans le marbre et j'ai seulement ciselé jusqu'à l'en libérer."Mais que va donc libérer mon araignée?
Je suis une femme et par là même hystérique , si si... ma psychose est profonde , j'en éclabousse de temps à autres mes congénères. Mon petit vélo est rouge  carmin, rouge sang, rouge pivoine, rouge passion , il ne pourrait être autre , même si j'ai ouïe dire qu'il y  en a qui usent de bicyclette bleue. Mais qui a t-il de commun entre mon petit vélo rouge et une bicyclette bleue d'antan, rien ni personne sans doute , mon vélo n'est même pas bi  et pas  très  cycle, non plus ,il n'a pas de roue , il a des carrés, des cases , des roues carrées non, des casiers, des conteneurs, des réas carrées parce que j'aime bien les réas, les gorges , les poulies, la folie des poulies, donc des cases et pas deux mais  quatre cases, quatre pattes, je ne roule pas, ne marche pas, je vais .........je vais quatre à quatre !
Ah mon petit vélo rouge , ni sot , ni saut, il ne sait , un beau petit vélo rouge qui trotte quatre à quatre dans ma tête.
Je vais donc 4 à 4 dans ma tête trop vite , très vite, très très... trop vite , plus vite que ma vitesse disais je petite, plus vite trop pour...trop pour l'agent qui me contraventionne , m'enferme , m'engaule , en une gaule même pas rouge.
Non ici tout ne se doit être que pastel, jaune clair  parce que non agressif, bleu pastel parce que couleur d'un ciel d'été ni trop chaud, ni trop froid, plat morne, dépressif à mes yeux déjà presque rouges.
Mais savent ils , eux, eux, eux là , eux les autres, savent il que ma couleur , la seule que je ne reconnaisse vraiment est le rouge, le rouge sans, le rouge vif, le rouge passion, il n'existe à mes yeux que deux couleurs , le rouge carmin et le non rouge carmin. comme je n'écoute que Deux morceaux ou plutôt deux artistes , Robert l'amie d'Amélie , oui Amélie pas Emilie la jolie, non rien à voir , amélie n'est pas jolie non certes pas mais elle est plus que cela elle est Belle à la façon de diderot, belle parceque unique, belle parce que une , belle dans son authenticité d'unicité ........et les autre?? non pas d'autres enfin si les autres que  Robert. Robert elle est rouge  comme Amélie même si elles semblent s'habiller souvent de noir et même s'en peindre, c'est parce que le noir et le rouge dont elles sont se marient fort bien. Elles sont rouges mes amies, Amélie que je connais, je la suis en ses écrits, elle me connaît aussi , je lui écris , elle m'écrit rien qu'à moi , entre elle et moi en rouge mais chuttttttt;
Du fond de ma cellule non rouge en cet hôpital , j'ai encore prit la plume qui égratigne de rouge les feuille de papier noires, j'ai écrit encore à Emilie et elle m'a comme d'habitude répondu la Notomb, Elle m'a m^me donné RDV lors de son passage à Rennes , elle Amélie, robert et plectrude, et ..................et.............. Elle a dédicacé son livre à maman d'un :" j'aime bien votre oeuvre"
Et oui on n'enferme pas les vélos rouges , le mien me permet l'évasion ...
Par donatien - Publié dans : thèmes imposés
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Jeudi 3 janvier 4 03 /01 /Jan 12:52

ELLE

"Viens. Oui viens. Là. Maintenant. Prends. Enveloppes. Investis. Ensemences ma terre.
Non. Attends. Laisses-moi faire. Regardes. Regardes le cadeau que je vais te faire.
Reste-là. Ne bouges pas. Posté entre mes cuisses. Regardes. Respires. Admires.
Quoi ? Tu ne vois pas ? Ma peau scintillant de mille fourmillements. Les soubresauts de mon cœur soulevant ma poitrine. Le téton qui se dresse, antenne télescopique, vers les cieux magnétiques. La toison emmêlée, le puits détrempé. Ce doigt qui le visite, hésite, en parcoure les bords, écarte les chairs, impudique, entre et sort luisant du miel doux-amer. Visiteur impromptu qui chemine le long du sillon. En haut ? En bas ? Sur les terres arides, brûlantes. Sésame à flatter avant de le voir s'ouvrir… Le ruisseau qui s'écoule, irriguant mon sol. Le bouton dressé, rougissant, empli d'envie, qui se tend irrésistiblement. Petit arc bandé à l'extrême. Encore, encore, encore un peu. Tournoyer au-dessus d'un majeur délicat. L'effleurer à peine, agiter le poignet. Jusqu'à faire mal, jusqu'à exploser. Une main sur ma poitrine, l'autre en mon intimité. Le grand chamboulement intérieur. Ne vois-tu pas les milliers d'étoiles qui emplissent mon vide intérieur ?
Regardes. Respires. Goûtes. Touches. Ecoutes."

lui:

bien sûr belle amie que je resterai là immobile....inébranlable.......attentif.....voyeur....passif, bien sûr ma chère que je vous laisse ainsi vous nourrir de désirs....vous sustenter de convoitises ....vous consummer d'appétitits...........vous entretenir d'aspiration..........vous commettre d'appetences.......vous fourbir de desseins....vous tenter en avidites...vous épuiser de fantasmes, je vous laisse vivre ce à quoi vous aspirez.
Me prenez-vous pour un homme facile?
Non.....je ne céderai pas si vite, pas si simplement, pas si aisément, pas si naturellement , il m'en faudra beaucoup plus et en temps et en intensité et en sollicitations et plus encore en tentations, en requête ,en suppliques peut être...
J'aime vous détailler du regard, vous effeuiller de l'esprit, vous observer en spectateur attentif et fervent mais.....juste vous laisser seule à seule avec vos désirs, seule à seule avec le plaisir que vous imaginez.
J'aime à vous fouiller du regard, à vous goûter en sensations, j'aime à m'abreuver de vos petits chuintements, j'ai plaisir à entendre votre voix prendre quelques allants, quelque hauteur, quelque saveur d'un oubli.......J'aime à vous sentir exposée à ma concupissance, étalée en impudeur face à moi, vous exiber à vous même.....j'aime à dénuder vos espoirs...........
Oui, je regarde, oui je respire cette odeur âpre et forte qui émane des ardeurs qui vous habitent, oui je goûte vos chants, oui je touche vos désirs..........mais non je n'écoute pas encore vos volontés.....
oui je vous veux..........brûlante......tendue.........suave.........Mais pas si vite pas encore pas déjà...........

ELLE

"J'attendrais... mais regardes encore et écoutes le clapotis des doigts fouillant la moiteur de mes tropiques. Le froissement de ma paume sur le moussu de mes poils. Le souffle court. Le cœur battant la chamade. Les gémissements sourds, la salive déglutie avec peine. Ma langue qui s'agite sur le doigt porté à mes lèvres, le bruit gourmand de ma bouche dégustant ma liqueur sucrée salée. Mes soupirs en moi portés vers toi. Ecoute mon corps qui respire et vit de plaisir, qui s'ouvre et se ferme comme un cœur palpitant, les draps qui se froissent, mes pensées qui grouillent et vadrouillent vers mille rêves impudiques.

La sueur qui perle à ma peau rougissante. Mon goût de femme, empire phéromonal, mon odeur, ma chaleur. Ma bouche affamée qui cherche tes baisers. Mes doigts trempés que je te donne à goûter. Les larmes salées que je laisse s'écouler.
Touche. Mêle tes doigts aux miens. Vole ma jouissance avant que je ne te l'offre. Fais-moi ce cadeau, fais-moi plaisir, fais-moi jouir."

lui:
Il est encore trop tôt, il est encore trop faible votre appel à défaillir, je vous vois, entends, ecoute mais ne vous goûte que des quelques effluves que mes narines perçoivent ,  je ne vous touche encore que des yeux...
Vous n'y êtes pas encore.............
Vous n'êtes encore que fantasmes, que désirs, que doux plaisirs des prémisses, vous avez encore du chemin à faire pour prétendre à autre chose de plus violent, de plus bestial peut etre, de plus riche de plus profond certainement.........
Il me plait de vous sentir en tension extrême de percevoir votre corps se contortionner pour savourer d'avantage...

Ouvrez vous, laisser vous aller à ne plus savoir, ne plus comprendre, ne plus rien controler , laisser vous aller à vous perdre vous pour ne plus etre qu'attente...............

ELLE:

Corps a... ccord…

Votre pensée, en tout premier,
Vient en moi réveiller
Une subtile sensation
Qui me parle d’abandon.

Ensuite votre regard
Pénètre mon regard
Cherchant l’accord
Pour vous de prendre mon corps.

Votre main, lentement
Vers moi se tend
De vos doigts agiles
Vous touchez une peau fragile.

Votre souffle m’effleure
D’une étrange douceur.
De moi, vous vous rapprochez
Jusqu’à me toucher.

C’est alors que mon corps se raidit
Puis, de désir attendu, frémit.
Dans vos yeux, je lis les mots
Que vous n’osez prononcer tout haut.

D’amour vous avez faim
Et vous n’attendrez pas demain
Pour assouvir cette envie
Qui en vous a pris vie.

Alors, je me laisse aller
Je me laisse bercer
Je me laisse caresser
Je vous laisse me toucher.

Votre doigt effleure ma joue,
Tendrement
Puis glisse le long de mon cou
Lentement.

Je ne peux plus bouger
Je ne peux que savourer
Dans un profond soupir
La naissance d’un désir.

Mon cœur palpitant
Vous attend
Mon corps excité
Vous est confié.

Oh ! mon bel amant
Prenez tout votre temps
Et pour mieux réveiller mes sens
N’écoutez pas mon impatience.

Avec votre main
Vers mon sein
Vous osez vous approcher
Et de vos lèvres vous venez le goûter.

Comme elles se font douces
Votre langue et votre bouche
Avec cette chaleur
Qui efface mes dernières peurs.

Votre visage sur mon ventre se pose
Pour que votre désir, un moment, se repose,
Je pourrais vous croire hésitant
Mais non, vous savourez cet instant.

Que pensez-vous alors,
Quel est votre fantasme d’alors ?
Quand sans crier gare
Vous n’attendez plus tard.

Mon corps qui, à vous, se donne
A chaud et s’abandonne
Il s’offre à vous
Il s’ouvre pour vous.

Vos doigts s’aventurent
Sans aucune censure
Jusqu’à entrer
Dans mon sexe mouillé.

Oui, caressez-moi encore et encore
Que je m’élève vers un merveilleux décor.
Venez sur mes lèvres mouillées
Déposer de longs baisers.

Par ces baisers
Je suis grisée…
Pour vous je suis ouverte
A vous je suis offerte.

Mon corps vous le possédez
Vous faites de moi ce que vous voulez
Vous faites avec moi ce que vous aimez
Nous partageons le plaisir de donner.

Je voudrais vous apporter ce même plaisir,
Vous faire encore revenir,
Eveiller en vous tous les désirs,
Vous amenez lentement à jouir.

Elle me charme votre « timidité »
J’aimerais l’apprivoiser
J’aimerais vous détendre
J’aimerais vous prendre.

Laissez-moi vous goûter
Laissez-moi vous savourer.
Vous couvrir de caresses
Emplies de tendresse.

Ne pensez plus à rien
Pour assouvir votre faim
Vous avez la chance
De pouvoir, en moi, avoir confiance.

Comment vous convaincre
Et vos hésitations les vaincre ?
Comment vous donnez encore plus l’envie
De partager cet Amour des corps que je crie ?

L’amant d’hier
N’a pas toujours eu de quoi être fier
Il ne faisait que passer
En étant plus mâle que beauté.

Vous mon Amant de demain
Sachez modeler l’Amour de vos mains
De tous vos sens, de votre âme
Tel le sculpteur qui d’une pierre sait faire naître une femme.

lui:
Puisque Dame, vous êtes si prolixe, puisque Dame vous êtes si empressée, puisque vous jouez le rôle de l'homme empressé dépêché par un désir récurent, imminent, insistant, puisque quand je tente de vous faire prendre le temps de refreiner vos désirs compulsifs, puisque quand même vos mots se font plus cru, plus vifs, plus empressés..........
J'ai peur, j'ai peur Dame, que votre désir de moi ne se brûle à cet incendiaire tourment, j'ai peur que la chandelle se meure d'avoir trop consumé nos corps ..........
J'ai peur que vous n'ayez de belles envolées orgasmiques certes  mais si précoces qu'elles ne se brisent en retombant à terre........

Je suis pour ma part......je ne suis plus pour ma part le jeune amant prépubère qui se jette dard dressé sur la tendre jeune femme lascive alanguie à peine frémissante encore du désir d'un lien de corps à corps.......

Sachez Dame, que même si en moi le désir brûle, même si en moi, quelques émois suintent et transpirent, m^me si mon corps me refuse de ne point répondre dents pour dents, désirs pour désirs, assaut pour assaut, pulsion à pulsion .........même si ..............

Tant que mon cerveau encore gardera froid son sang, tant que........ma corruption me sera supportable........tant que mes doigts je pourrais contenir...........

Tant est, tant est …que je me tiendrai encore à distance d’un désir vôtre j’ose espérer,  mais non point encore  user de toucher.........Votre désir ainsi  ne sera que plus éminent encore.

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Mercredi 19 décembre 3 19 /12 /Déc 14:49
celle ci de table  m'horrifie,  me  fait peur,  me terrifie , m'épouvante, me terrorise,me sidère , comment  vouloir avoir à faire avec une telle table , si raz qu'elle  n'existe qu'à peine,  elle n'est même pas directement perceptible , compréhensive, ou  conviviale , non tout au contraire , elle est seule et dépareillée, elle est  diablement compliqué en  vieille fille maniérée et   impénétrablement froide ....
Je  ne veux pas de table raz,  de table morte assassinée d'un reset malheureux, pas de table éteinte d'avoir perdu son passé , pas  de table vide d'avoir du oublier, pas de table à  dresser à nouveau , pas de table neuve à  lustrer pour la faire , pas de table  à mettre à sa place, à une place , une autre place que la sienne auparavent.  Je ne veux pas de table jeunette non mature , non encore  fourbu à tous les usages,  je ne veux pas de table vierge sans saveur, sans fumet délicat  , de table inodore sans effluve, insipide sans relent , impénétrable  sans émanation  de vie antérieure, pas de table propre,  trop propre trop nette, .

Je ne veux pas de  table  neuve,  ni de table  mise à neuve,   pas table raz     donc, .. je veux une bonne table  aux habitudes ancrées, une  table  mûre qui sait où elle va, une table qui  ne se cherche plus mais sait  ce qu'elle est , ce qu'elle veut, par où elle ira, je veux une table  usagée, une table  où les coups de fourchettes, les coups de canifs sont inscrit en cicatrices  indélébiles . Je veux une table qui a connu le frottement incessant  des vas et des viens entre ses cuisses , en son fondement . une table qui à vu le loup comme ses mains, ses bras, ses coudes qui ont lustrés sa face . Une table unique , une table qui possède encore l'odeur du bois dont elle est faite, des essences, des heurts, des intempéries qu'elle a du affronté, une table vivante, une table qui exalte les émanations de vies antérieures,  une table aux cuisses bien campées qui ne s'offusque pas de garder en sa toison pubienne les fruits de plaisirs de chaires connus sous d'autres cieux , une table qui se souvienne des  frénétiques et trépidantes agapes qui lui frottaient l'échine , une table à la croupe fière et ardente de ses souvenirs , une table aux parfums bruts et véritables, au goût fort et  prégnant du musc de ses anciennes amours... 
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Mercredi 19 décembre 3 19 /12 /Déc 10:59

week end d'intégration,

le thème imposé est éculé, mais n'est-ce pas de ceux ci, qui ont peuplé nos fantasmes d'adolescent non boutonneux ( bah oui pourquoi aurait on tous des boutons)?  fantasmes que nous souhaiterions rencontrer au plus tôt...

Donc pour en revenir au thème, il est :" Inversons les genres"
les filles en garçons, les mecs en femmes et bien sûr avec les rôles qui leur sont dévolus, toujours dans l'inconscient collectif, vieux de mille ans, parce que nous........ bien sûr nous avons évolué depuis!

Donc j'étais, enfin étant homme, du moins j'ose y croire, je m’affublais de vêtements féminins, difficile d'ailleurs de trouver à sa taille de 42 des vêtements si magnifiquement féminin d'autant que ma pilosité importante que je ne voulais sacrifier sur l'autel du WI, m'empêchait toutes fantaisies.

Bien sûr je passais dans quelques petits doigts féminins pour le maquillage, je ne sais pourquoi mais elles,les possesseurs des doigts, elles , les femmes, trouvaient un malin plaisir à nous travestir, peuvent être parce que ce serait pour elle une forme de torture sadique ou une façon de découvrir une face de leur attrait pour les sapphos de lesbos, ou encore elles prenaient plaisir à gommer toute marque de virilité , une façon comme une autre de nous chastrer, de prendre le dessus, de prendre à deux mains le pouvoir, à moins que ce soit moi qui fantasme là...( oui certainement, elles sont déjà aux commandes qui en douterait?)
Néanmoins dans leurs mains, je fus vite, sous les petits cris perçants et les rires à gorge non déployée pour cause de phase de masculinisation antérieure, je fus vite paré et pomponné, j'hésite à y mettre un e, parée et pomponnée, euhhhhhh non, cela m'effraie un rien.

Donc la soirée était bien entamée, quand un charmant monsieur, enfin de Monsieur elle n'avait que le costume, m'apostropha en des termes un peu leste»: alors comment vas tu ma poulette ?"
Que répondre ? que répondrait une charmante femme distinguée, rien, je pense, elle négligerait cette quantité peu remarquable, cette quantité négligable sentant un peu trop fort le machisme , ce rustre infâme. Mais en même temps, je peux imaginer que ce nouvel homme, n'a pas encore trouvé sa véritable personnalité, qu'il ne connaît pas les us et coutume, enfin qu'il sort d'une autre planète, et ce n'est pas faux puisqu'il est femme.
Je lui explique donc les tenants et aboutissants de la drague de l'homme et lui laisse une chance de reprendre au début........

( à suivre)

en audio:

http://donatien.blogs-de-voyage.fr/archive/2006/03/26/week-end-d-integration1.html

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Mercredi 12 décembre 3 12 /12 /Déc 16:16



Je n'oserai jamais au grand jamais , croiser son regard,  me poser devant elle et  entrer en contact avec ses yeux, elle m'effraye presque, m'effarouche mieux , au pire simplement elle  m'impressionne  et  le poids de  sa tête vers moi tournée me tourmente.

Aussi  ferai-je le choix  Dame table de   ne point vous aborder.... fuir votre atteinte .... juste vous  observer de loin, le regard précis , le corps  en présence lapidaire , le coeur franc un rien affûté , je  lorgne sur votre dos  , je convoite votre grain de peau ,  j'ambitionne le fil de votre colonne vertébrale là où   diantre , vous ne me surprendrez point ...........du moins j'ose le croire...


Je  ne suis  qu'un simple homme, un simple mortel, un  pauvre hère  qui  rêve de vous ,  de vous aborder  Dame Table mais ....... un gueux qui  rêve de la diablesse princesse, un croquant  loin.....loin  bien  encore de  l'ineffable réalité ne saurait vous importuner ne serait ce en désirs...

 Vous aborder j'en imagine le dessein,  vous aborder  en biais, de biais ,  de coin,en coin...  être à ce point encore  mal  à l'aise.......entre deux chaises,  un rien étriqué sans doute,  serré de ne pas oser,  mesquin à  ne pas pouvoir vous effleurer de mes mains, médiocre encore, aussi  pas question de vous griffer même légèrement  de mes coudes , minable peut être or donc , hors de question d'approcher de vous  mon ventre...

Me mettre à vous, m'en remettre à vous  voilà ce, vers quoi j'aspire,  me  mettre à vous, m'en remettre à vous,   tout déposer  à vos pieds  ,   ne surtout pas vous dresser   Madame, mais tisser entre nous un lien, un  napperon pas même rouge, ou si rouge , rouge passion, rouge déraison, rouge  fougue, rouge ......baiser.........

M'approcher de vous , lorgner sous votre jupe et ses ornements majestueux , lorgner et convoiter vos pieds menus ciselés de vair , dévisager vos jambes fines et fières de leurs muscles saillants et  puis ................puis .......rien d'autre je n'en serais pas digne,  vous ne m'y aurez pas , pas encore, pas encore invité, autorisé, pressé...

Reste que je fantasme déjà aux douces caresses que je vous pourrais prodiguer,  caresses tendres, caresses  timides, caresses à peine entamées, à peine esquissées, caresses frôlées, caresses effleurées , voyez , je vous peints le dos en volutes évanescentes...mais chuutttttttttt n'en faites pas cas ......pas cas l'encas sur nos pouces nous envisagerons bientôt.............




 
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