Jeudi 13 mars 4 13 /03 /Mars 11:50
J'ai évoqué , les sentiments de l'homme à la pénétration , enfin le sentiment  de puissance et de pouvoir . Il y a confusion entre sentiments et sensations  parce que  le sentiment se  transforme pour le coup  en sensation .
Lors de l'acte je n'ai pas vraiment le sentiment d'être fort, puissant, invincible , j'ai trop de ma raison pour me faire douter de  cela, mais  lorsque je prodigue du plaisir à mes partenaires , j'ai la sensation ,  le ressentis d'être invincible,  d'être FORT, d'être puissant, d'être le plus fort, le plus grand, le meilleur ,  le plus beau, le plus................plus....   chutttttttttttttt  ( je me prends pour qui? )..... de posséder ....d'être omnipotent quant au don que je prodigue......( sourire......un rien fat le type!)


Il s'agit alors d'une sensation  plus que d'un sentiment.........

Des sentiments j'en ai aussi , bien évidemment et ceux là sont différents à chaque fois, à chaque partenaire, à chaque occasion,  j'ai un sentiment de joie, de gaieté, de jeu, d' amour, de  tendresse,  une forme de  violence, de fulgurance, d'instinct, de bestialité aussi mais contrôlée ( sourires....), de la complicité, de la force, et de la fierté  aussi ( pardon)  ...............tous ces sentiments mêlés et sans doute la liste n'est pas exhaustive.......

les sensations , je .........

Il existe DES sensations, différentes à chaque fois dues à la partenaire à ses particularités physiques , à son degré d'excitation, de lubrification............

la pénétration est tout d'abord la sensation d'entrer dan un berceau , mais un berceau sur mesure,  douillet et tendre , le nôtre fait pour nous ................ Il y a d'ailleurs ce sentiment  lors de la pénétration :" elle est faite pour moi "  ...........son sexe moule le mien , le mien se moule en lui .....;peut être une résurgence de l'être unique mythique .......l'androgyne premier duquel sont né deux êtres séparés un homme une femme  affaiblis par les dieux que l'androgyne  croyait pouvoir défier. Il y a donc là aussi une forme de sentiment de sensation de retrouver l'entité primitive , naturelle ..............
Autre façon d'interpréter les sensations de cet acte, un concept  d'entrée , de résurgeance de l'état de foetus baignant  en son  liquide ammiotique , au sein de son nids, de la nidification élaborée pour lui par l'être qui le nourrit à savoir sa mère...
Bien sûr l'amante ne serait pas la mère sinon nous rejouerions l'oedipe mais par notre penis nous ressentirions une forme de paix , de bien être , de protection totale à le nicher en votre sein Mesdames.

Autre façon de décrire la pénétration sexuelle ou plutôt les sensations qu'elle engendre est de l'évoquer en une métaphore :
Pour imaginer la sensation de pénétration,  imaginez l'entrée dans une chaussette avec le pied, une chaussette chaude, humide, tendre, douce, une chaussette qui se moule à notre pieds, une chaussette qui nous entoure, nous enserre.......... à la fois elle existe cette chaussette à la fois elle n'y est pas, parfois celle ci est plus lâche , plus étroite plus humide, plus lisse, plus tendre, plus chaude, plus musculeuse, parfois il y a vraiment une sensation d'une chaussette non plus humide mais mais emplie d'eau tiède , et la sensation de baigner en même temps que le bruit caractéristique de flop flop flop..............
Dans ce même registre, il existe une sensation  pure et divine  celle au bout du gland qui est de l'ordre de la sensation que l'on peut avoir au contact sur une coupure avant la cicatrisation quand la peau ne s'est pas encore reconstituée.
J'aimais bien enfant promener mes doigts sur mes plaies avant et pendant la cicatrisation, bien sûr juste un effleurement, une caresse,  la sensation est du même ordre , sensation  de contact de muqueuse à muqueuse sans barrière de peau.

Autre  sensation proche ou tout au moins ayant des similitudes, le bain,  en effet  pénétrer le sacro saint  sexe féminin  c'est se baigner en lui ,  un bain chaud , humide  ( un bain humide....ohoh ) , mais  la structure  n'est pas si  lisse ,si aqueuse forcement , il y a comme une sensation d'ouverture ( elle est là) d'une substance douce tendre humide , une muqueuse donc qui nous fait place, elle s'ouvre dis je , du genre sesame ouvre toi juste pour mon passage et cela se réalise.......... les parois se deplacent et laissent place......;; puis plus la lubrification existe, plus la sensation evolue, le milieu devient moins muqueuse plus liquide, huilleux, il prend de la viscosité  et quand plus liquide encore il se fait ( le milieu ) alors il est aqueux .......  et  et notre pénis baigne en tout cela tout naturellement...........   cela pourrait osciller entre un bain de boue, un bain empli d'huile ,  puis un bain plus traditionnel , cela dit pour les sensations, le reste qui porte toute mon attention aussi est cérébral, de l'ordre des sentiments , des fantasmes, de l'intellectualisation................ 
Par don - Publié dans : sexe ....
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Mercredi 12 mars 3 12 /03 /Mars 11:06

Premier amour peut être de mes seize ans!

Comme tous les jeunes adolescents en vacances je ne cherche qu'une chose l'amour ou un de ces substituts........aventure. Je suis d'une nature romantique si si je vous assure mais l'été je me mue en un don juan de pacotille qui tente de se faire savoir à lui même qu'il est mignon et attirant et que les filles n'y sont pas insensibles.

Je suis quelque peu timide mais en ce lieu je possede la reputation de bout entrain de service, je me dois donc de faire face et de me depasser.

Il doit etre 18 h et notre petite bande d'amis et amies traine sa nonchalence entre plage camping et pinede, quand j'apercois deux petites blondes inconnues promenant leur chien , ou alors le contraire, c'est à dire un gros chien promenant deux jolies damoiselles d'une blondeur de lin.

En predateur de service,je me dois d'honorer l'offrande et invite adrien à se joindre à moi, nous abordons donc les charmantes promeneuses d'un grand sourire et d'un petit bonjour, ou alors le contraire la memoire me trahit; mais déjà nous percevons dans les traits et les mimiques que la langue de voltaire leur est etrangere, heureusement je possede les rudiments de celle de Shakespear et de Goethe, il se trouve qu'elles sont neerlandaises et qu'en mi allemand mi anglais j'arrive à me faire comprendre non point dans les subtilites mais .........

Je les invite à une petite promenade sur la plage en notre aimable( si si ) compagnie, elles acceptent mais pour plus tard, elles doivent rentrer manger et ramener le chien mais nous nous rejoindrons plus tard à ce même endroit disons à 19H 30 .
Rendez vous etant pris,nous regagnions notre groupe qui n'apprecie pas que nos revenions sans elles et nous chambre comme il se doit.

adrien et moi, ne pipons mot, mais echangeons un sourire que les autres tentent d'interpréter.

Bien sûr nous sommes là vers 19H 15 et adrien et moi, nous mettons d'accord sur le scenario à suivre, les deux filles sont soeurs et je pencherais plus pour la plus agée puisque je le suis moi aussi, bon de Trois semaines seulement, mais cela me donne un droit d'aînesse non!
Les deux damoiselles nous rejoingnent, elles ont delaissé le chien, cela n'est pas pour nous deplaire, nous n'avions rien prévu pour lui, sourire...
Nous nous dirigeons doucement vers le bord de mer, en devisant difficilement mais surement entre mots , sourires, rires et grands yeux ouverts sur des questionnements sans réponse étant donné les difficultes de langues.

les deux créatures ne comprennent pas le francais, cela nous permet d'elaborer des scenarios à haute voix.
Adrien ,me demande, si le fait qu'elles soient venus avec nous deux en seules à seuls est une forme d'acquiessement d'un rapprochement physique, je pense, j'espere , je ne prevois qu'un oui.

Nous avons fait nos choix, elles sont toutes les deux tres mignonne, la plus jeune un peu plus malgres tout, mais elle me parait un peu trop jeune , j'ai donc jeté mon devolu sur la plus agée,16 ans c'est à dire notre âge la soeurette en possede deux de moins.

Pres de l'eau la plus jeune, se mets à essayer de me pousser à la mer, elle m'éclabousse, bref, même néophyte en néerlandaises je percois qu'elle tente un rapprochement , ELLE , elle me drague non?

Nos doigts se frolent plusieurs fois, et je sens, qu'elle tarde parfois à rompre le contact, si j'osai je la garderais cette main!

Je suis prevoyantet un peu machiavelique aussi donc,je suis toujours entre les deux filles, qui elles bavardent aussi beaucoup entre elles et le neerlandais, je ne  comprends pas,mais je ne suis pas qu'idiot et je pense qu'elles aussi imaginent  des scénarii, elles nous entrainent d'ailleurs sur un banc en bord de mer ..........

Par don - Publié dans : amour
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Mardi 11 mars 2 11 /03 /Mars 13:18
Une amie  sur un autre blog , présent en mes favoris se posait al question de ce que ressent l'homme ?
De ce que "c'était "  de pénétrer etc...................


Alors alors je me pose la question , qu'est ce donc que je ressens lorsque .......
lorsque tu cries........... lorsque tu plies........... lorsque tu te lâches............lorsque tu jouis......................... lorsque ton orgasme se fait jour .........lorsque tes orgasmes pleuvent et inondent.....


Je crois que le premier sentiment , peut être même le seul est
un sentiment de PUISSANCE ( ce n'est pas pour rien que l'autre versant peut être l'impuissance.....)

Et la puissance de donner à l'autre et de le lire en ses yeux, en son corps, en son souffle, en ses mots .............................  prouve.............me  prouve  que je suis.......... m' offre le pouvoir , le POUVOIR de donner, le pouvoir de délivrer, d'offrir, de garder aussi.............Puissance du don mais puissance de vie et de mort , d'offrir la petite mort , d'affoler les sens,  de pousser ce coeur à la quasi rupture proche si proche de l'emballement évident.

La puissance est donc ...........euh.........ma puissance est donc celle qui m'offre  le pouvoir et ce pouvoir je peux peut être ensuite par une forme de conditionnement  , la ressentir avant même le don suprême lors des prémisses, lors des jeux amoureux, lors des jeux licencieux,  lors des jeux sensuels et érotiques  puis quand je  ............je m' introduis, quand je  pénètre ( en territoire ennemi), quand je m'ingére.... je m'immisce ...... je me glisse.....j'accède........

Par association, même une simple intrusion de mes lèvres sur tes lèvres qui précède ma langue en ta bouche, en toi.......me procure le pouvoir, la puissance.......et et et........alors mon vit qui se gonfle lui aussi par association me procure déjà le doux  plaisir de............croire , imaginer,  te POSSÉDER .........
Par don
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Vendredi 7 mars 5 07 /03 /Mars 13:40

Depuis que j'ai l'age de te savoir exister, peut être même avant déjà , depuis que l'age de raison j'ai atteind dit-on ( raison  raison  il n'en faut aucune pour te...;) , je rêve , et pas un de ces petits rêves triviaux et naifs , je RÊVE, de ces rêves substanciels, je rêve de te rencontrer au détour d'une route.............à l'envers d'une porte......... au fin fond d'imposantes montagnes............. au milieu de nul part........... de mes nuls parts.......... aux confins de cet océan immence que je percois de ma fenetre.................................ou encore par miracle au beau milieu de tout un monde de tout mon monde.
J'ai cru maintes fois te croiser déjà , t'entrelacer pleinement ,t'effleurer en maintes jeux , te froler d'un regard fièvreux , esperant une petite chance de te suivre des yeux , un temps, peut etre plus........... respirer ton parfum,  le sentir me monter à la tête...........croire à un "entre nous" ,  seul à seul.......................... penser à l'impossible , l'incroyable de dessiner ton corps du bout de mes doigts alertes........................... imaginer que mon corps te visite un jour,un soir, une nuit sans halte, sans fin, sans prendre d 'autres respirations que quelques bouffées de  tes sucs dont suinte ton corps grâce à moi..........

Une nuit,oui, cette nuit où en seul à seul , je pourais croire te rencontrer , ne plus voir de toi en moi, ne plus oser même m'entendre prendre, reprendre mon souffle, ne plus bouger un cil, croire en toi, croire à moi, croire qu'un "nous" se pourrait possible, fermer mes yeux mes oreilles et et............................................................et frôler, caresser, manier, petrir, masser, petrir et encore aimer aimer ..........aimer encore......mieux...........plus......plus fort......plus profond.......plus loin..........plus doux mais plus ferme..............

Je t'ai peint mille fois, je t'ai rêver souvent, je t'ai cru entrevoir entre chat et loup, je .......t'ai aimé tu ne le sais, tu ne le sauras.......et non puisque tu ne me liras...........cela ne se peut....

Et puis ...et puis
lorsque tu me fus si proche que je croisais ton souffle, lorsque rien ni personne ne pouvait plus nous separer encore......lorsque .................lorsque j'ai cru ...........lorsque j'ai vu....lorsque j'ai su...atteindre ce nirvana...........lorsque .........les yeux fermés , clos pour encore pour plus encore............ percevoir, jouir .............jouir de jouir à cet instant tant convoité..........lorsque..................

Tu t'es fait encore evanescente , fugace encore et malheureusement deliquescente peut etre..............
TOI...toi.....

toi O SILENCE,
TOI o silence fait Femme d'entre les femmes toi que j'ai si souvent rêvé!

Par don
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Jeudi 6 mars 4 06 /03 /Mars 15:49

    réponse à Vallisneria et son texte:

                                                      "          regarde


....et
penche-toi 


entre mes jambes

de nacre..

 

 

et mes cuisses

...d'onde..

 

t'enlaceront.."
regarde .......oui et je ne ferai que cela ......pendant.........jusqu'à ce que tu............que ta gêne s'installe, qu'elle te trouble, qu'elle  te fouille, qu'elle pose sur toi le  mal aise ...pesant pressant oppressant..............empesant.............avant que..........

 

Mon regard , juste de mon regard porter la chaleur là , un peu plus haut , toujours plus haut,  ......là haut tout là haut .........au sommet de tes jambes, ...................qu'elles s'entrouvent...........qu'elles s'offrent................qu'elles t'offrent à mes regard ......à ma concupiscance...... que mes yeux te pénètrent........ qu'ils investissent tes jambes disais je, sens tu le poids de mon regard se fauliler sur toi, en toi presque , se glisser , s'introduire, s'insinuer , s'infiltrer,     je m'enfonce en     ,   tes jambes entrouvertes, je m'engouffre, en elles ecartées ,  ouvertes,  que mes yeux pénètrent d'avantage encore...je t'envahis, je t'investis........ là où tes jambes  deviennent cuisses, , plus encore ......tu me guides en mimiques, tu me pousses en dandinements , j'aime à te voir en contorsion de désir , je veux voir ta moue dubitative, exortante  ...........   je veux  te voir écarter  mieux encore tes cuisses pour m'offrir d'avantage,  et de la jambe à la cuisse je monte doucement de la cuisse à  ce haut de cuisse quand il devient vulve.........guide moi à te transpercer, à te perforer...mais pas encore pas si vite , je veux encore ....encore........te voir te donner à moi,  je veux voir tes jambes, tes cuisses s'entrouvrir encore et encore laissant place à mon seul regard lubrique qui lui te touchera...t'effleurera, te frôlera,te titillera, pour mieux , plus avant....te caresser.... te tripoter, te tâter, te palper....m'insinuer et te prendre ...peut être........

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Lundi 3 mars 1 03 /03 /Mars 14:47

Ton corps entier de jeune femme tout comme celui dont je suis l'hote se mue en un fier arc tendu par notre desir certain..............désir d'en venir enfin.........ENFIN...........à ce qui nous obsède maintenant l'un l'autre depuis un déjà fort long temps de fait... nous tourmente  maintenant de plus en plus , pour peut être même nous harceler tantôt, nous torturer déjà...............

La tension est plus que palpable, mon coeur s'ennivre, s'exalte, s'enballe,je crois deviner tes yeux implorants, l'un et l'autre nous semblons devoir notre salut futur qu'à un baiser à venir, ce baiser qui nous tend l'un à l'autre , l'un vers l'autre, l'un tout contre l'autre........

Ce baiser où je meurs serait la bonne transcription de ce que nous avons à vivre dans l'instant...

Ta gorge se noue, mes levres entrouvertes s'assèchent. Ton coeur fait palpiter ta poitrine, elle tressaute presque, ma glotte monte et descend furieusement...;.

Mais Il se trame autre chose aussi, nos corps tendu l'un à l'autre entonnent un pas de danse, un pas de tango argentin bien sûr , ils se pressent l'un vers l'autre, se pressent mais doucement sans pouvoir se toucher, ils vont de concert , ils vont et ils viennent ensemble , en couple, en pas de deux... ballerines gorgées de volupté, sybarites lascives mais enfièvrées............

Je te suis si proche que l'un et l'autre de nos yeux ne pouvons plus voir quoi que ce soit. Alors nos yeux pour l'instant se taisent, ils tirent les rideaux, peut etre pour laisser place à  d'autres sens, ou simplement sublimer ceux qui encore nous habitent.
Tes narines fremissent, elles me cherchent elles aussi, je comprends leur langage , ou plutôt elles cherchent à entrevoir, percevoir le parfum non que je porte mais celui particulier de la peau, unique tunique qui nous parre maintenant l'un et l'autre .....

Par don
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Dimanche 2 mars 7 02 /03 /Mars 10:47
une photographie de baiser...et les quelques mots qui l'evoque me donnent à l' envie d'y plonger, de m'y introduire, m'y abîmer peut être........ d'en vivre un de ces baisers ...de ceux qui restent encore au bord des lèvres après bien après..............et cela se peut faire en ces mots:

Nous avons echangé des mots, quelques mots triviaux, quelques mots sans importance aucune, il eut pu tout aussi bien se faire un echange de mot sans sens, de phrase sans verbe,sans complement, sans grammaire, sans presque rien, juste des mots echangés, ce mot "echangé" a dailleurs toute son importance par ce qu'il ne s'agit que de cela un echange....

lui:"bonjour, rouge, douceur

Elle : " printemps, voilage, exaltation"

Lui s'aprochant d'elle imperceptiblement:
" oiseau, lyre, mélodie"
Elle, gardant en son regard lui en captif :
" ivre, je veux, cheveux"
Lui, n'ayant plus de volonte propre:
" Elle, Elle , Elle"

Il n'y a plus rien d'autre qu'eux deux, plus rien n'oserait bougé pas même un petit doigt peint ou non. ILs n'entendent l'un et l'autre que la musique de leur voix, et la flute de Hameln dont jouent non point Bunting mais leur deux coeurs battant la chamade ...l'entendez vous? ta ta ta tatata.ta ta ta tatata...

Alors je .....oui......je ..je suis irressistiblement attiré , embarqué, aspiré, aimanté vers elle et son regard qui m'y invite...
Je ne sais plus où et comment,et par où et ...pourquoi...et ce comment encore.........que faire et, ou ne pas faire, mes yeux ne la quittent plus , je ..........je .....je me perds entre ses yeux qui me retiennent et sa bouche qui m'appelle...je m'approche encore , et même si nulle part mes pores n'entrent encore en son contact, je perçois déjà le contact de sa peau..........j'ai presque l'ennivrant parfum de ses levres qui se pose sur les miennes. Je n'en puis plus, la regarder encore, je n'en puis plus, j'ai mal à me retenir,j'ai mal de me retenir, je tremble de ne plus savoir, j'ai peur de trop m'y plaire , je suis effrayé de mon desir impetueux..........

Sa bouche esquisse un mouvement de levres, elles se tendent, fremissent, se font implorantes puis d'un coup presque pressantes et imperieuses.......

 

Par don
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Vendredi 29 février 5 29 /02 /Fév 17:46

Vous en avez le souvenir, j'ai evoqué, entrepris , un baiser langoureux,essentiel,que dis je essentiel, capital, primordial, necessaire à mon equilibre...
Et puis j'attendais fiévreusement tout de même que ma douce muse ne manifeste sa présence, sa venue, son acquiescement qu'elle me susurre à l'oreille un doux OUIIIIIIIIIIII !
qu'elle m'agrée; consente, approbe , qu'elle fasse parvenir son assentiment à celui qui persiste à ne vouloir qu'elle...
Et bien? Et bien? dites moi! savez vous?

ELLE

Elle EST VENUE ...........Houpiiiiiiiiiiiiiiii

Muse a un peu abusé de moi,certes, elle s'est jouée de mon desir, a badiné comme à son habitude, elle a attisé mes ardeurs, elle a minaudé, mimé la mijaurée,parodié une tendre becheuse, elle a simulé la coquette, avec une finesse délicieuse. l'exquise a su se faire raffinée, gracile dans ses propos , ethérée dans ses mouvements, distante pour m'enrager aussi........Mais.......

Je l'ai senti s'approcher de moi, poser ses yeux sur mon desir, sourire à mon corps en attente, ecouter mon souffle s'emballer...
Et moi j'aurais aimé prendre les devants, me montrer digne et maitre de la situation , mais il ne pouvait en etre question, elle possedait des armes autrement persuasives...

Elle a toisé mon regard implorant et imperceptiblement elle est entrée dans mon intimité, dans ma sphere , dans la zone de partage où chacun sait le desir de l'autre, où rien ni personne ne peut plus arriver...rien d'autre que ..........un rapprochement ultime encore...ecnore....encore...

Je t'ai entrevue alors comme jamais tu ne t'etais montrée à moi, je t'ai vue de mes mains, ecoutée de la peau de mon nez, touchée de mes oreilles, humée de mes yeux... il n'y avait entre toi et moi.........il n'y a entre toi et moi ...plus rien qui ne soit quantifiable, plus un centimetre, un milimetre, ou m^me un micron, je te resens urbi et orbi ( dedans et dehors), de partout, sans nul obstacle même infime...
J'aimerais, j'aime à faire durer ce doux moment, entre le toi le moi et peut etre, surement même un nous à venir, j'aime faire monter encore le desir, le rendre ennoblissant, exaltant , avec juste l'espoir, l'intencite de ce contact à venir, j'aime penetrer en toi pas à pas, yeux dans yeux, peau à peau ......... mais sans brusquerie, tout en douceur onctueuse et que cela dure dure dure une eternité encore.......

J'aime sentir le nuage , les effluves de ton parfum qui m'embaume le coeur, j'aime te discerner, là, maintenant aussi fievreuse que moi, j'aime que la petite chipie de tout à l'heure, celle qui mimait le refus, ne tende maintenant plus que vers le baiser à venir, j'aime que tes mains se tendent à mon contact, j'aime que tes yeux qui tentaient de me defier encore une minute plus tôt, là ne se perdent en un sourire béat et ne se ferment en une attente infernale, j'aime que ce corps , ton corps , comme le mien s'arcqueboutte ,pour percevoir enfin un rien, une infime etreinte qui se devoile à peine, j'aime que ta levre inferieure se gonfle quand tu la mordilles à peine mais perceptiblement par impatience éhontée, j'aime que tu sois, que je sois entre desir passion et fausse timidité....j'aime............
Et puis ...et puis puisque la distance n'est plus mesurable, puisque nous tombons l'un vers l'autre, puisque mes yeux se ferment à trop te contempler, puisque ............
Le contact............le contact!!!!!!!!!!!....le contact se fait
je ne saurais te dire ce qui de toi , de moi se touche tout d'abord, je ne saurais le dire puisque j'attends ce moment depuis .........bien plus que cela encore...... mais je sais une chose............

Il n'y a plus ni toi, ni moi, le "nous" existe et se manifeste, j'ai
sur la peau , ta peau etrangement desirable mais etrangement soeur aussi, elle ne me surprend pas, j'en avais déjà connaissance dans un autre univers, je baigne contre toi, je me nourris de toi, et pourtant et pourtant ,juste à l'instant , nos levres se frolent seulement, oui seulement car nous avons l'impression d'en etre bien plus loin, d'y etre bien plus en profondeur, d'etre plus entrés en partage l'un de l'autre , l'un à l'autre, l'un pour l'autre..

Je fremis , les jambes ne me portent plus, je flageole, je tremble presque à ce doux , sensuel, suave contact, je ne te prends pas les levres, tu ne me les donne pas, elles s'apprennent,se jaugent, elles se visitent, elles echangent, elles partagent, elles se decouvrent, elles s'ecoutent, se goutent, s'emeuvent l'une à l'autre deux à deux ... par petites touches delicates, enfantines, tolerantes, expressives intences mais tendres.......

Nos coeurs, nos corps se voudraient passionnés peut etre mais nos levres prennent le temps de se connaitre, de se reconnaitre.......elles prennent le temps et ni toi ni moi ne leur en voulons pour cela, nous avons le temps ..................goutons donc à ce divin plaisir du contact frele mais audacieux de nos levres amoureuses l'une l'autre....

Par don - Publié dans : amour
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Vendredi 15 février 5 15 /02 /Fév 14:43
une semaine et demi  ,, le demi a son importance!!!!
Par don
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Vendredi 15 février 5 15 /02 /Fév 14:43

Puisque,

Puisque depuis quelques temps déjà, tu te composes une citadelle en
mon temps, un fortin en mon esprit, une place forte en mes
mots, et un nids douillet en mon coeur ,
Puisque hier déjà j'ai declaré ma flamme,
Puisque cette nuit mon baiser à poser ses ailes et s'est
recroqueviller au sein de ta feminité,
Puisque je ne sais pas ,
Puisque je ne sais pas encore,
Puisque c'est etrange,
Puisque c'est derangeant,
Puisque c'est excitant,
Puisque c'est ennervant,
Puisque tu me manques ,
Puisque je ne sais...,
Puisque dans la multitude nous nous sommes croisés,
Puisque dans la multitude nous nous sommes parlés,
Puisque de la multitude entre deux est né ce sentiment,
Puisque dans la multitude emergait l'un et l'un,
Puisque je fonds à tes charmes multiples,
Puisque j'ai peur,
Puisque je tremble presque,
Puisque je suis moi,
Puisque je t'approche
Puisque j'ai encore à parcourir du chemin,
Puisque...........................
Puisque aujoudhui à defaut de fleur, de perles,
Puisque à defaut de pierres precieuse, à defaut d'ambre,
Puisque aujourdhui comme hier je te cherche,
Puisque je te veux, tu me manques,
Puisque je veux encore et encore approcher de toi,
Puisque je veux encore et encore t'appendre
Puisque je suis curieux de chaque parcelle de toi,
Puisque des merveilleuses aux plus humbles je me delecte
Puisque de mes doigts en ce jour je ne puis te toucher
Puisque je tente maladroitement de t 'offrir...
Puisque ce bouquet de pensées se pourrait composer
Puisque…………………….

Par don
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